LE PARC NATIONAL DES ECRINS
Lys martagon, Sabot de Vénus, Edelweiss ou Mélèzes… plus de 2500 espèces de végétaux dont 220 sont rares et menacées égayent les pelouses, forêts ou la rocaille.
Lys martagon, Sabot de Vénus, Edelweiss ou Mélèzes… plus de 2500 espèces de végétaux dont 220 sont rares et menacées égayent les pelouses, forêts ou la rocaille.
Créé en 1973 le rôle premier du Parc National des Ecrins est de garantir la préservation d’un espace naturel d’exception. Si le Parc a les yeux tournés vers la nature, il se préoccupe tout autant de l’homme, de son travail et de son habitat. Il a notamment réalisé un travail sur le bocage champsaurin et nombre de petits ou grands édifices doivent leur survie à ses actions. Il participe, par exemple, à l’entretien des murets de pierres, qui cernent les sentiers pour canaliser les bêtes, et contribue ainsi à maintenir vivant le patrimoine des anciens. Le Parc accompagne également les communes dans leurs projets d’aménagement du territoire, tourisme, agriculture…
En prenant soin du passé et en valorisant le présent, le Champsaur Valgaudemar s’invente un avenir durable.
Les gardes-moniteurs constatent les infractions et peuvent dresser des procès-verbaux. En effet, commissionnés et assermentés en qualité d’inspecteurs de l’environnement, ils exercent un pouvoir de police pour faire appliquer la réglementation du parc national.
Mais leurs missions ne se limitent pas à ça !
Ils ont pour mission l’accueil, l’accompagnement et le renseignement des différents publics.
Ils entretiennent les équipements du parc national (refuges, sentiers de randonnées…).
Leur contribution à des travaux de collecte de données (inventaires, comptages) et de suivis des espèces du parc national permet d’enrichir la connaissance des milieux et des espèces.
Aux côtés des acteurs socio-professionnels, ils s’investissent dans les actions de préservation et de développement.
De plus, ils participent à la vie locale et sensibilisent le public à la préservation des patrimoines.